Le journal international du groupe Springer Discover Mental Health publie une étude réalisée sur 966 « femmes transgenres », c’est-à-dire des hommes qui prétendent être des femmes et qui utilisent des œstrogènes pour soi-disant « changer de sexe ». Il en résulte que leur taux de mortalité est 51 % plus élevé que celui de la population générale. Les principales causes de décès étaient les maladies cardiovasculaires (21 %), le cancer (32 %), le suicide (7,5 %) et les maladies infectieuses (5 %).
L’utilisation d’œstrogènes « est associée à un risque trois fois plus élevé de décès par accident cardiovasculaire », et multiplie par plus de cinq le risque de caillots sanguins dans les veines.
Et elle a un impact cognitif néfaste. Par exemple, les hommes ayant subi une « transition féminine » ont des scores inférieurs à ceux de leurs homologues masculins et féminins en matière de « vitesse de traitement de l’information et de mémoire épisodique ». En outre, des symptômes élevés de dépression ont été « associés à une augmentation des taux d’estradiol dans le sérum » chez les hommes de moins de 60 ans.
Cette étude confirme celle réalisée en 2023 au Danemark indiquant que tant les hommes qui veulent devenir femmes que les femmes qui veulent devenir hommes présentent un risque significativement accru de développer toute une série de maladies cardiovasculaires mortelles.
Une étude publiée en 2019 par l’Institut national américain de Santé (NIH) soulignait également que les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès chez les personnes transgenres ayant subi une transition et que le risque est trois fois plus élevé chez les hommes. La même année, une étude conjointe des associations cardiaques britannique et américaine arrivait à la même conclusion.
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c’est tellement évident. De part son génotype (XX ou XY), chaque sexe est davantage prédisposé à développer certaines pathologies mais aussi à mieux y résister. Si on modifie les caractéristiques hormonales sans pouvoir toucher aux gènes, tout est perturbé.
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