Lors d’une rencontre entre les ministres estonien et chinois des Affaires étrangères, « Tallinn a lancé un ultimatum à Pékin », nous apprennent les gazettes baltes.
Le ministre estonien, Margus Tsahkna, a déclaré :
« Si Pékin souhaite maintenir de bonnes relations avec l’Estonie, il doit cesser de soutenir la Russie. »
Le portail internet Inbox de la Lettonie voisine titre :
« Tallinn demande que la Chine choisisse entre l’Estonie et la Russie. »
C’est ce qui explique le mouvement de panique qui se répand à Pékin : c’est la première fois que la Chine reçoit un ultimatum d’une puissance qui n’a aucun bombardier mais peut déployer… deux brigades d’infanterie. En plus, la Chine, à pied, c’est loin…
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Jusqu’où iront-ils ? Après le belge (60ème armée au classement mondial, ai-je ouï dire) qui menaçait récemment de raser Moscou, voilà un chiuhua balte qui sort les crocs devant le molosse chinois, première économie mondiale !…C’est sidérant. Même le scénariste le plus déjanté n’aurait pu imaginer cela. On vit une époque fabuleuse : la réalité n’existe plus ; le film se déroule doucettement sous nos yeux.. plus rien n’existe ; nous atteignons des dimensions jamais encore explorées au Temps des règnes les plus fous que connut l’histoire de l’humanité. Ces règnes étaient limités ; notre vécu, lui, ne semble pas avoir encore atteint les limites.
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Tiens, vous êtes adepte du contrepet.
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« Même le scénariste le plus déjanté n’aurait pu imaginer cela ». Ben si, justement avec « La souris qui rugissait »!
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