Le « Service d’Etat pour la politique ethnique et la liberté de conscience » avait décidé de saisir les biens et les comptes de la métropole de Kiev de l’Eglise orthodoxe ukrainienne, pour accélérer un peu la disparition de l’Eglise dont la loi a décidé l’interdiction… il y a 16 mois.
Mais un tribunal a refusé. Le « Service d’Etat pour la politique ethnique et la liberté de conscience » a donc fait appel devant la Cour suprême. Laquelle vient de confirmer le jugement, soulignant que les comptes et biens de la métropole orthodoxe de Kiev demeurent inviolables tant que la justice n’a pas rendu sa décision concernant l’interdiction de ses activités.
Or, à l’audience du 11 décembre, le procès concernant cette interdiction a été reporté sine die.



