La dictature LGBT en Suisse

Le 2 décembre, un suisse du nom d’Emanuel Brünisholz, a été incarcéré pour une durée de dix jours. Pour ce commentaire sur Facebook :

« Si vous déterrez des personnes LGBTQI dans 200 ans, vous ne trouverez que des squelettes d’hommes et de femmes ; tout le reste est une maladie mentale encouragée par le programme scolaire. »

Les lobbies LGBT ont porté plainte. Emanuel Brünisholz a été condamné pour propos « attentatoire à la dignité des personnes LGBTQI » à 500 francs suisses d’amende, 800 francs de frais de justice, et à une peine avec sursis de 2.500 francs. Refusant de payer pour avoir dit une « vérité scientifique », il a assumé son choix d’aller en prison.

Non seulement c’est une vérité, mais c’est une donnée de base de la médecine légale…

A propos de la pénurie de carburant en Russie

L’été dernier, la propagande occidentale a fait ses choux gras d’une pénurie de carburant en Russie, signe à la fois de l’effondrement de l’économie russe et de l’efficacité des drones ukrainiens qui détruisent les dépôts et les raffineries. Cela a fait les gros titres pendant quelques semaines, et naturellement les démentis d’Occidentaux sur place ont été dénoncés comme de la propagande russe. Or voici ce que dit aujourd’hui The Moscow Times, qui est le principal organe de l’opposition russe en exil, donc férocement anti-Poutine.

Titre : La Russie a-t-elle eu réellement une crise du carburant ? De nouvelles données laissent penser autrement.

La façon dont les événements se déroulent aujourd’hui en Russie n’a pas grand-chose à voir avec la façon dont ces mêmes événements sont présentés dans les médias. Lorsque les gros titres ont commencé à annoncer « une crise de l’essence en Russie » cet été, il est devenu vraiment difficile de comprendre si le pays était confronté à des problèmes de carburant importants affectant une partie importante de la population, ou si quelques perturbations isolées avaient été amplifiées par les médias pour devenir une urgence nationale.

À l’échelle nationale, 24% des personnes interrogées ont été confrontées à une pénurie de leur type d’essence préféré dans une station-service au cours des trois derniers mois. 11% ont vécu cette situation une ou deux fois, 7% trois à cinq fois et 6% plus de cinq fois. Seules 10% des personnes confrontées à une pénurie (2,4% de l’échantillon total) n’ont pas pu trouver d’essence le jour même. La plupart des gens ont simplement fait le plein à la station-service suivante. 18% ont rencontré des files d’attente inhabituellement longues, mais près de la moitié d’entre eux ont attendu moins de 20 minutes, ce qui n’est pas vraiment une situation de crise et reflète plutôt la façon dont les récits médiatiques façonnent la perception. Parallèlement, seuls 6% ont été confrontés à des limites d’achat, et moins de 1% l’ont été plus de cinq fois. Dans la plupart des régions, il n’y a eu aucune pénurie physique de carburant. Les problèmes se sont concentrés dans les petites chaînes de stations-service en difficulté, dont certaines ont rapidement fermé leurs portes.

Au plus fort des affirmations selon lesquelles les pénuries de carburant étaient causées par les frappes ukrainiennes sur les raffineries de pétrole russes, il était déjà clair que la situation se résoudrait d’elle-même en un ou deux mois pour des raisons purement saisonnières. Et c’est exactement ce qui s’est produit. Les informations faisant état de pénuries ont disparu des médias et les prix de l’essence sont en baisse depuis trois semaines.

« Dérussification » antichrétienne

Sous prétexte de dérussification, l’Ukraine accélère sa politique antichrétienne. A Kiev, la rue où se trouve l’entrée de la Laure des Grottes de Kiev s’appelait tout naturellement « rue de la Laure ». La mairie de Kiev vient de la renommer « rue Mazepa ».

Viktoria Moukha, présidente de la commission de la culture, du tourisme et des communications publiques de la ville de Kiev :

« La dérussification ne consiste pas à remplacer des plaques, mais à retrouver sa voix et sa mémoire. Pendant des décennies, la Russie a imposé des noms étrangers afin d’effacer notre identité. Nous supprimons l’influence coloniale, privons l’agresseur de sa présence symbolique dans la capitale et affirmons notre espace de liberté ukrainien. En pleine guerre russo-ukrainienne, ce travail fait partie de notre résistance. Je remercie les habitants de Kiev, les experts et toutes les communautés qui ont soutenu ces décisions. Ensemble, nous façonnons un espace urbain qui parle le langage ukrainien et œuvre pour notre victoire. »

Ce propos donne la mesure de la réelle folie antichrétienne ubukrainomaniaque. Le mot « monastère » est devenu un mot étranger imposé par la Russie pour effacer l’identité ukrainienne… La Laure des Grottes de Kiev, qui est le cœur même de l’identité chrétienne de l’Ukraine, devient un symbole colonial…

On comprend mieux pourquoi les autorités ukrainiennes veulent chasser les moines de toute la laure et interdire l’Eglise orthodoxe.

La laure supérieure a déjà été enlevée aux moines en 2023 et livrée à diverses activités profanes. Le 1er décembre dernier y a été inauguré en grande pompe un buste de… Mazepa.

La dictature allemande

Le ministère de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat ayant inscrit l’AfD sur une « liste d’organisations extrémistes », les membres de ce parti sont interdits de candidature aux élections municipales.

Depuis juillet dernier les membres de l’AfD ne peuvent plus être fonctionnaires dans ce Land.

Le délirant massacre des vaches

Le massacre des troupeaux de vaches, sous prétexte de dermatose nodulaire contagieuse bovine, se poursuit et s’aggrave. Mardi, 42 vaches vaccinées ont été tuées dans les Pyrénées-Orientales (la désinformation officielle ose dire « euthanasiées »), et 82, également vaccinées, dans le Doubs malgré les quelque 400 paysans qui tentaient d’empêcher l’hécatombe.

« Les forces de l’ordre ont permis la mise en place du dispositif d’abattage avant même que la justice ne se prononce sur le référé déposé par les éleveurs et deux syndicats agricoles », dit la Confédération paysanne qui appelle à « se mobiliser pour lutter contre la politique sanitaire de l’État ».

Insane politique « sanitaire ». Près de 3.000 vaches parfaitement saines ont été tuées depuis fin juin.

On se souvient du mantra de l’épisode covid : il faut faire confiance à la science, donc il faut se faire « vacciner ». Et quand on tue les vaches vaccinées, on fait confiance au vaccin ? Ou bien il s’agit seulement d’une arnaque au profit des firmes vétérinaires ?