Quand les Géorgiens se soulèvent

Le fanatique russophobe d’Asianews (les nouvelles de l’Institut pontifical des missions étrangères) Vladimir Rozanskij titrait ce matin :

Le soulèvement de Tbilissi après les élections.

J’ai reproduit hier une photo du « soulèvement » lundi à 19h : il n’y avait déjà plus personne. Hier il y a eu une nouvelle manifestation. Cette fois il n’y avait quasiment personne dès le début. Lundi, des cars de police étaient stationnés tout le long de la façade du Parlement. Hier soir, les rares manifestants pouvaient s’asseoir tranquillement sur les marches. Les seuls incidents ont été le fait de manifestants qui faisaient la chasse aux journalistes russes, et qui étaient eux-mêmes chassés par la police…

Le parquet a décidé d’ouvrir une enquête sur les allégations de fraudes. Et a commencé par convoquer l’agent euromondialiste qui fait office de présidente, qui appelait à manifester contre son propre gouvernement en criant à la fraude tout en avouant qu’elle n’avait aucun élément concret à présenter…

Le Premier ministre Irakli Kobakhidze a sommé les opposants de faire part à la justice des preuves dont ils disposent sur les fraudes, faute de quoi ils auront prouvé leur malhonnêteté.

Addendum.

La présidente refuse de se rendre à la convocation du parquet.


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Une réflexion sur “Quand les Géorgiens se soulèvent

  1. Madame Salomé Nino Zourabichvili n’a pas de preuves? Le parquet devrait demander la levée de son immunité et l’inculper pour propagation de fausses nouvelles. Mais quand on sait que:

     » les Juifs géorgiens ont d’ailleurs adopté des patronymes géorgiens avec une terminaison en -chvili (fils de) tels que : Davitachvili, Eliachvili, Leviachvili, Abramiachvili, etc  » on comprend mieux. La Géorgie intéresse beaucoup la « tribu » tout comme l’Ukraine. On voit où cela mène….

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