Le P Cantalamessa, qui était le prédicateur pontifical depuis 44 ans (wojtylien sous Jean-Paul II, ratzingérien sous Benoît XVI, dans l’air du temps sous François), 90 ans, a été créé cardinal et remplacé par un certain Roberto Pasolini, lui aussi capucin.
La particularité de ce Roberto Pasolini est d’être un militant de l’inversion sexuelle en tant qu’exégète (car il est professeur d’exégèse à la faculté de théologie de Milan). Il voit des invertis partout dans la Bible et cela va très loin. Un sommet est l’histoire du centurion et de son serviteur en train de mourir. Si le centurion tient tellement à lui c’est évidemment que c’est son amant. Et Pasolini de s’exclamer : « De qui Jésus fait-il le plus grand éloge » ?
« En vérité, je vous dis que je n’ai pas trouvé, même en Israël, une si grande foi », dit Jésus : il n’a pas trouvé plus grande foi que celle de ce centurion inverti qui ne veut pas perdre son giton. Tel est l’amour vrai.
Tel est le nouveau prédicateur de la Maison pontificale. On dit qu’il va aussi être nommé professeur à l’Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille. Où il ira en effet très bien avec le grand-chancelier « homoérotique » Vicenzo Paglia.
Au moins son répugnant homonyme cinéaste ne cherchait pas à détruire l’Eglise de l’intérieur.
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