Cette affiche est placardée à la piscine en plein air de Büren (Rhénanie-du-Nord-Westphalie). Comme on le voit, elle rappelle que le harcèlement sexuel est interdit : elle représente ce qui se passe bien trop souvent dans les piscines (du moins à Büren Rhénanie) : une grosse rousse tripote les fesses d’un migrant infirme…
Et la tortue appelle à la délation roussophobe : « Personne n’est autorisé à te toucher sans ton consentement. Si tu te sens mal à l’aise, tu as le droit de demander de l’aide. Dis mon nom : Tiki ! »
L’affiche est véridique : elle est revendiquée par le service d’aide à la jeunesse de Büren, fier de sa participation à la gay pride de Paderborn…
Et ce n’est évidemment pas réservé à Büren… Cela fleurit partout, et partout l’agresseur est blanc, la victime colorée…
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Le blog d'Yves Daoudal 
Merci Yves Daoudal de nous pointer l’inversion accusatoire qui sévit partout. Ils veulent imprégner tous les esprits de la culpabilité des indigènes. Le pire c’est que de trop nombreux autochtones sombrent dans le piège grossier !
Qui n’a pas compris que de trop nombreux esprits ont été complètement retournés en territoire ukrainiens jusqu’à attaquer leurs parents russes. Ce sont toujours les mêmes ficelles de ce qu’on nomme l’ingénierie sociale dont usent, abusent et perfectionnent les totalitarismes !
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C’est celui qui dit qu’y est, comme dit la réflexion enfantine.
Qui produit cette propagande, pour flatter ou sidérer qui?
Comme la grosse propagande « antiraciste » s’est avérée de la propagande infantilisante, paternaliste au sens caricatural de ce terme, et finalement promouvoir une forme d’infériorisation qu’on peut qualifier de raciste si on reprend la terminologie de l’adversaire de la vérité et du bien commun.
Infantiliser des populations, en généralisant de plus à tous leurs membres certains comportements, et inverser l’accusation pour éloigner de la réalité les reproches qu’on pourrait leur adresser sur ce sujet, cela fait directement penser à la grosse machine « antiraciste » à la SOS racisme, terme qui fait penser d’ailleurs à une association de protection du racisme.
Si des membres de certaines populations sont concernées dans la réalité par certains comportements, d’autres décident pour eux, à leur place, qu’il ne faut pas les reconnaître responsables de leurs comportements et, éventuellement, leur laisser une chance de se remettre en cause et pour les autres membres de leurs communautés se désolidariser de ce genre de comportements. En accuser ceux qui, à priori, peuvent être potentiellement leurs victimes, c’est nier la liberté responsable de l’agresseur et l’innocence de leurs victimes, c’est nier la réalité, prétendre l’interdire d’expression.
Vu l’évolution, qu’on pouvait voir venir avec un peu de perspicacité, des donneurs de leçons racistes promoteurs de l’anti racisme des années 80, à la Dray, BHL et Finkelkraut, on peut voir venir leurs successeurs sans trop de difficulté.
Pourquoi n’ont-ils même pas changés de logiciel et combien de temps allons nous devoir attendre avant de les retrouver chantres d’un racialisme suprémaciste accablant leurs protégés d’aujourd’hui et voulant nous imposer leur haine?
Sinon, ils nous désignent ceux dont ils font des victimes et qu’un peu de bon sens reconnait comme ceux dont il faut se préserver. Merci à vous les délateurs!
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« Der Mitarbeiter des Jugendamtes », elle serait un peu rousse et enveloppée à l’origine? C’est une teinture pour l’anonymat?
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Ce genre d’accusation inversée devient si courante, souvenez vous de la vidéo de Julie Gayet pour dénoncer les mariages avec des enfants chez les catholiques, qu’on peut se demander si cela n’a pas pour but, en parallèle avec le tabou sur ces sujets dans les gros médias, de pousser des gens exaspérés et pas très équilibrés à commettre un acte violent en retour.
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Vous remarquerez la nullité des dessins, typiques des écolo-bobos de tous pays. Dessins moches, propagande infantile (pardon aux enfants), méchanceté baveuse, insinuations fallacieuses. Les mêmes sont au pouvoir en Allemagne.
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