La mise en examen de Jean-Eudes Gannat pour ce tweet anodin marque une accélération à la britannique dans la répression du politiquement correct.
Jean-Eudes Gannat a été mis en garde à vue hier. Il y est resté pendant plus de 24 heures, a été mis en examen pour « incitation à la haine raciale », et déféré en vue d’une comparution immédiate. Sic.
« Un cap a été franchi dans la censure. Le Parquet d’Angers compromet gravement le peu de confiance qu’on est encore en droit d’attendre de l’institution judiciaire », commente son avocat.
Addendum
Jean-Eudes Gannat a été libéré après 36 heures dans les locaux de la police et de la justice. Il sera bien jugé pour « incitation à la haine raciale », le 6 mai 2026.
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Aussi, répression en tous sens : ainsi Omar Alsoumi, palestinien en exil et co-fondateur de l’association ‘Urgence Palestine’, a été arrêté à son domicile, le 5 novembre. Il fait l’objet d’une enquête pour « apologie du terrorisme ».
C’est une façon de concevoir la liberté de parole selon le politburo européiste.
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