La dictature LGBT en marche

Le gynécologue de Pau qui refusait d’ausculter un jeune homme soi-disant « femme trans » a été condamné à 1.000 € d’amende avec sursis pour « outrage sexiste ».

Il était surtout poursuivi par les lobbies LGBT pour « discrimination ». Le procureur (une femme) avait requis six mois de prison avec sursis et 3.500 euros d’amende. Mais le tribunal n’a pas retenu la « discrimination ». Le gynécologue est condamné pour un commentaire de l’affaire sur les réseaux sociaux : « Je m’occupe des vraies femmes et je ne détiens aucune compétence pour m’occuper des HOMMES, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes. »

C’est donc un « outrage sexiste » de dire la vérité biologique sur le sexe quand la personne se prétend d’un autre « genre ».

Le pire dans cette affaire est que le Conseil de l’Ordre des médecins a complètement assimilé l’idéologie LGBT et a condamné le gynécologue à six mois d’interdiction d’exercer, dont cinq avec sursis.

Les gynécologues sont donc tenus d’examiner les hommes qui se prétendent femmes…


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3 réflexions sur “La dictature LGBT en marche

  1. Pendant l’hystérie covid,  le Conseil de l’Ordre des médecins a montré son allégeance aux pires idéologies mijotées dans les loges,et aux menées criminelles de Bigpharma, s’attaquant à des sommités médicales critiques de leur dictature sanitaire. Nous n’oublions pas. alors qu’ils en rajoutent à un jugement inique est bien dans leurs procédés.

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