La France a donc atteint le degré extrême de la pourriture LGBT, et de façon officielle. Ce qui n’est pas étonnant dans un pays qui inscrit dans sa Constitution le droit de tuer les bébés.
C’est la « Défenseure des droits », Claire Hédon, qui dénonce « l’ampleur des discriminations » visant partout, dans tous les domaines, les prétendues « personnes transgenres ». Et il faut que ça change. Elle « entend réaffirmer l’importance du respect de l’identité de genre et rappeler le droit applicable ».
Respecter la soi-disant identité de genre, cela veut dire concrètement :
— Dans les fichiers des entreprises et de l’administration, on doit utiliser le mot « Monsieur » ou « Madame » que veut la personne, indépendamment de son sexe, ou supprimer cette mention.
— Les procédures de changement de prénom et de « sexe » à l’état civil doivent être « déjudiciarisées, déclaratoires, accessibles et rapides ».
— Les mineurs doivent également pouvoir bénéficier de cette procédure.
— Il faut mettre fin aux « exigences déraisonnables » auxquelles sont confrontées les personnes prétendument transgenres dans leur parcours de soins. Un gynécologue ne pourra plus refuser d’examiner un homme qui se prétend femme.
— Les fédérations sportives ne doivent plus refuser de faire concourir des « personnes transgenres » : les hommes qui se disent femmes peuvent participer à toutes les compétitions féminines.
— Les « personnes transgenres » condamnées à des peines de prison doivent être incarcérées dans la prison correspondant à leur genre : les hommes qui se disent femmes doivent être mis dans une prison pour femmes. La « Défenseure des droits » ne précise pas si elle fournit les préservatifs aux femmes qui vont être violées.
La France est devenue véritablement immonde.