
Le documentaire « Ljudi Hristovi – Naše vreme » (Les Hommes du Christ – Notre époque), réalisé par Jovan Marković, a été présenté en avant-première à la Cinémathèque de Belgrade.
Ce film aborde les défis spirituels, culturels et psychologiques auxquels les fidèles orthodoxes sont confrontés en Ukraine. Il met en lumière les histoires de ceux qui, malgré les pressions et les provocations, restent fidèles à leur foi, alors que leurs églises sont prises par la violence et que prêtres et évêques sont jetés en prison.
Le patriarche serbe Porphyre a assisté à la projection et, avant le début du film, il a béni les spectateurs présents.
Sur la photo on voit le patriarche, avec à sa droite Emir Kusturica et à sa gauche l’évêque Irénée de Bačka. Ces deux personnalités participent au documentaire.
Kusturica a comparé la situation actuelle en Ukraine aux révolutions française et bolchevique, et il a souligné que la guerre en Ukraine a été « vendue aux Ukrainiens à un prix très élevé ». Ce documentaire, a-t-il ajouté, « devrait être projeté dans toutes les écoles de Serbie afin de contrer les tentatives de tuer Dieu dans le cœur des gens par des moyens doux ».
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A ce propos, l’archevêque grec catholique ukrainien Sviatoslav Yuriyovych Chevtchouk s’est fendu d’une déclaration prétendant que les Russes persécutent les grecs catholiques et détruisent des centaines (sic) d’églises dans l’est de l’Ukraine. Il n’y a pas que Zélensky qui est cinglé. Mais Zélensky est juif et Chevtchouk est catholique et qui plus est archevêque. Il ment, car il a l’espoir (insensé) de récupérer une partie des églises spoliées et confisquées par le cinglé juif.
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