
Lizza Mügge, professeureuh en sciences sociales et comportementales à l’université d’Amsterdam, spécialisée dans l’intersectionnalité, le genre, la diversité, le transnationalisme, est la « coordinatrice scientifique » du projet MEN4DEM (des hommes non masculins pour une démocratie châtrée), qui cible « les idéologies d’extrême droite souvent liées à la xénophobie, au racisme, à l’antisémitisme, à la misogynie, à l’homophobie, à la transphobie et, plus généralement, à l’hostilité envers les groupes marginalisés ». Le projet est chargé « d’élaborer des stratégies fondées sur des données probantes pour lutter contre les formes néfastes de masculinité politique » afin de « fournir des outils concrets aux décideurs politiques, aux praticiens, aux groupes de la société civile et aux partis politiques afin de créer un environnement politique plus sûr et plus inclusif pour tous ».
C’est financé à hauteur de 3 millions d’euros par Horizon Europe, le programme-cadre de recherche et d’innovation de l’Union européenne.
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Peut-on arriver à faire pire ? La preuve par (men)4(dem). Il y avait déjà l’innovante Ursule, et son équipe de Phénix européistes au plus haut niveau, les brillantes estonienne KK, et allemande AB, ….ainisi qu’une pléthore d’hommes liges à la tête des États asservis, ou les otaniens MR et ses ‘Malbrough s’en vont-en guerre’, sans oublier la médiacratie, ….
Sans doute, ils pourront faire mieux encore. Ils sont déjà la ‘Voix de son maitre’ (belle ancienne publicité d’EMI Group, 1899), prémonitoire au fond ; de nos jours on en vomit d’indigestion par surcharge… ‘…mironton, mironton, mirontaine, j’n’en dit pas davantage’…
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