Dans une interview au Financial Times, Apostolos Tzitzikostas, le commissaire européen aux transports, déclare qu’il faudrait plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour transporter des troupes vers les frontières orientales en cas d’attaque russe. En outre, vu le poids et la taille des engins de guerre actuels, ils pourraient rester coincés dans les tunnels et détruire les ponts, et « s’enliser dans la bureaucratie frontalière ».
Tzitzikostas a trouvé un nouveau moyen de faire peur avec l’inexistante menace russe, et de faire jouer cette peur pour tenter d’imposer l’avancée vers « l’Europe de la défense » qui ne vient toujours pas. C’est pourquoi il dénonce la « bureaucratie frontalière » : chaque Etat de l’UE est encore souverain dans ce domaine, malgré les prétentions de la Kallas.
Il faut donc supprimer ce reste de souveraineté qui empêche de faire rapidement la guerre aux Russes. Et il faut évidemment… dépenser des milliards pour rendre les infrastructures opérationnelles. Et là le commissaire aux transports est dans son domaine de compétence. Et on ne va pas lésiner : il lui faut 17 milliards d’euros pour modernisation de 500 sites clés le long de quatre corridors militaires traversant le continent. Lesquels corridors seront aussi un bon moyen de saper les souverainetés nationales…
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…ou, en cas de revers assuré, ouvrir grand la route aux monstrueuses forces russes qui n’attendent que ça pour sûr. Ces gens ne raisonnent plus sainement et pourtant, les bons Peuples les laissent encore sévir …
Nous vivons dans un asile à ciel ouvert, pas encore trop occupé par trop de fous dangereux, mais il semble que leur nombre augmente…
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Bonsoir,
Si une guerre venait à éclater, je pense que les états assoupliraient d’eux mêmes les tracas de la « bureaucratie frontalière ».
Quand à la praticabilité des routes et des ouvrages d’art par les colonnes d’engins militaires, c’est aux états d’y penser, selon leurs doctrines militaires propres.
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Leurs « couloirs militaires » magiques serviront aussi aux ennemis pour envahir rapidement et facilement les pays européens assez crétins pour envisager leur utilisation. C’est à double tranchant.
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Les chihuahua baltes, la Pologne (catholique complaisante dans un environnement protestant), la Suède, l’Allemagne et ses affidés, y compris Batavialand surtout, toutes entités ravies de servir les anglo-saxons cornaqués par la Perfide Albion, n’ont toujours pas cesser de poursuivre leur idée maléfique qui les unit depuis des siècles maintenant : dépecer la Russie au gréde leurs intérêts. C’est une évidence, maintenant urgente, que la France (mais Elle ne fera pas en l’état actuel, Fille aînée de l’Église devenue catholique isacariotique) doit quitter impérativement, sous peine de disparaître, le joug insupportable de l’Union européenne, de l’euro, des organisations juridiques supra-européennes, de toutes les ONG qui les servent, de l’Otan fauteur de guerres, ce bras armé des États-Unis et des ‘Big Five’.
Les prophéties de La Salette en 1846 mettaient en garde l’Église qui, maintenant, est clairement éclipsée depuis Vatican II. Ce dernier concile est ce ‘1789’ de l’Église catholique, parole attribuée à Benoît XVI, mais qui l’a reprise du cardinal Suenens, primat de Belgique [ce territoire attribué initialement à la Hollande, née de la volonté des britanniques lors du Congrès de Vienne (9 juin 1815) et par la suite de cet évêque, le prince de Talleyrand à la suite de la Confrères de Londres (4 novembre 1830) entérina l’indépendance de cette nouvelle entité pour mieux contrôler la France en la séparant de l’Allemagne ; cette derniere est et reste l’ennemie plusieurs fois séculaire de la France, nation qu’Elle vise encore et toujours à réduire à rien, si Elle ne peut l’anéantir].
La France éternelle, quand Elle sera à nouveau catholique, est une des rares nations européennes qui existe depuis plus de mille années ; Ell retrouvera alors son alliée naturelle, la Sainte Russie et pourra redevenir par après l’alliée des États-Unis si ces derniers parviennent à se libérer de la Communauté luciférienne qui les dénature.
D’ailleurs, selon mon humble avis, le plus grand danger actuel et pour l’avenir pour la paix mondiale (en conséquence de la doctrine Samson), si Elle ne disparaît pas, vient ou viendra tôt ou tard de la seule entité au monde qui n’a jamais respecté le droit international, et qui n’existe d’ailleurs pas en tant qu’État selon le droit international (un État c’est : une collectivité=Peuple/s/ sur un territoire clairement délimité= frontières réelles et soumis à un unique gouvernement) depuis sa récente fondation. Cette entité n’a pas de frontières définies !
Rappelons simplement, qu’inspiré par le Saint-Esprit, manifestant l’infaillibilté pontificale, le saint pape Pie X avait refusé tout établissement juif sur les terres de Palestine, alors que Herzl sollicitait son appui à ce propos. Benoît XV réitéra en 1917 la position prise par Pie X.
Cette audience privée a été rapportée par Théodore Herzl (25 janvier 1904) lui-même.
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