On nous a dit que 200 confessionnaux avaient été installés pour le jubilé des jeunes à Rome.
Mais ça, ce ne sont pas des confessionnaux. Ce sont des cabines d’entretien psychologique, entre un jeune et un prêtre, face à face, chacun assis d’un côté de la table, à égalité.
C’est logique, puisqu’on a supprimé le sacrement de pénitence, et qu’on a effacé le mot même de pénitence dans les Evangiles.
Tout au plus le jeune vient se « réconcilier »… En restant bien assis à sa place… Au même niveau que celui avec qui il se réconcilie : au même niveau que Dieu.
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[…] Pieux entretiens […]
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S’ agenouiller disparaît.
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Vous êtes certain que ce ne sont pas des cabines pour se faire injecter la vingtième dose du vaccin contre je ne sais plus quoi ?
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C’est moins cher qu’une consultation chez un psy freudien.
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Rien n’interdit de se mettre à genoux. Et cela se fait en insistant si en face effectivement il y a un prêtre qui comprend l’intention.
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Avouez quand même que tout est fait pour que le croyant ne s’agenouille pas facilement ; comme lors de l’assistance au Saint Sacrifice de la Messe, dans les églises où on peut s’asseoir, rester debout mais beaucoup plus difficilement s’agenouiller, puisque les chaises que j’appellerais ‘prie-Dieu’ ne sont plus. Dans les églises orthodoxes, ou anciennement, chez les catholiques, sans ‘chaises’ on peut être debout ou s’agenouiller, pas s’asseoir. Oui, insidieusement, on n’empêche rien, on peut toujours s’agenouiller comme dit C, mais tout est fait pour désacraliser, pour mettre l’homme au niveau de l’officiant consacré, s’il l’est effectivement, car cetre question cruciale, se pose de plus en plus. Bref hisser le croyant au niveau de son Créateur et Rédempteur. Ni Moïse…(je saute les étapes), ni les apôtres, même s’ils conversaient simplement avec Dieu, ne l’ont réduit à être leur égal…..Aujourdhui, ces petits faits sont symptomatiques d’une apostasie grandissante.
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..et, surtout, il n’y a plus de bancs de communion…recevez l’hostie consacrée debout..mais, bien sûr, vous pouvez toujours vous agenouillez, ce n’est pas (encore ?) défendu.
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Tiré de l’homélie du Saint-Père : « Au Circo Massimo, vous vous êtes approchés du sacrement de la pénitence, vous avez reçu le pardon de Dieu et vous avez demandé son aide pour mener une vie bonne. » Il vaut mieux quand même s’informer de ses paroles
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Il y a assez d’églises à Rome avec encore des confessionnaux en état de marche pour éviter ce genre de foire ou cirque. Bonjour la confidentialité. A St Pierre on peut se confesser dans toutes les langues y compris la langue de bois dans de vrais confessionnaux massifs classés. La classe, quoi…
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Commentaires d’Yves Daoudal et de certains autres affligeants !
On pourrait supposer, à les lire, que le sacrement de pénitence n’est pas accordé puisqu’il ne s’agirait que de simples entretiens psychologiques…
Votre opposition systématique et forcenée est de plus en plus caricaturale.
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Lex orandi, lex credendi !
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La perte ou l’affaiblissement du sens du sacré entraîne l’enténèbrement des consciences, c’est une fait expérimental. Et comme tout cela est accompagné par un appauvrissement des rites et des symboles, nous nous dirigeons tout droit à la totale protestantisation des fidèles très accélérée par V2. Les novateurs s’étaient empressés de mettre au feu les confessionnaux et autres mobiliers d’église (prie-dieu, agenouilloirs) qui leur donnaient des boutons. Car ces « tolérants » imposent leurs vues aux fidèles de manière totalitaire, au point de refuser la communion à ceux qui « osent » s’agenouiller et recevoir sur la langue.
C’est sûr que les ennemis de l’Eglise connaissent parfaitement là où il faut frapper et ils savent ce qu’ils font (c’est Lucifer lui-même qui leur donne les consignes dans les sociétés sécrètes et autres loges). Autre est la question de la responsabilité morale de ceux qui sont trompés par des bergers-mercenaires: elle doit être faible.
Envoyer les jeunes dans certaines églises de Rome pour les confessions leur aurait permis de goûter à une atmosphère de recueillement et de beauté qu’ils ne trouveront pas dans cette foire-kermesse très JMJ.
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C’est comme ça dans la plupart des églises, quand il y a des confessions.
Mais on peut s’agenouiller et le sacrement reste valide.
Que l’épiscopat doute de la nécessité du salut et influence le clergé est une chose. Que Notre Seigneur aie abandonné l’Eglise en est une autre.
Personnellement catho tradi, je continue à me confesser dans un sanctuaire ou une église non tradi pour ne pas oublier cette vérité essentielle, l’Eglise reste l’Eglise, malgré tout.
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Dominique Morin, je partage votre point de vue sur l’unicité de l’Eglise.
Mon petit-fils aîné (routier) est rentré de Rome hier : il ne s’agissait nullement d’une foire-kermesse et la lex orandi a été vécue de manière édifiante.
Je suis un peu désolé qu’Yves Daoudal, quand un million de jeunes sont rassemblés aux pieds du Bon Dieu sur l’appel du pape, ne trouve à parler que des confessionnaux qui étaient comme ceci ou comme cela…
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Malgré ce que je dis, je pense comme Yves Daoudal.
Je suis peut-être plus résigné que lui, moins révolté contre cet état de fait d’une désacralisation par les clercs. J’essaie de ne jamais oublier l’essentiel.
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Il y a 900 églises à Rome. On peut en trouver plus d’une vingtaine à proximité immédiate du cirque Maxime, ce qui aurait économisé beaucoup d’argent si les organisateurs arrêtaient de vouloir faire « jeune ». Qu’on utilise les moyens du bord en pèlerinage en pleine cambrousse, loin d’églises, comme à Paris-chartres, soit, mais à Rome?
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