Le gouvernement britannique a interdit l’usage des bloqueurs de puberté censés permettre aux enfants de « changer de genre ». Mais des « essais cliniques encadrés » sont possibles. Le King’s College de Londres va donc entreprendre un « essai clinique » sur une centaine d’enfants…
La responsable du projet reconnaît que les effets négatifs possibles « incluent des impacts sur la fertilité, le développement neurologique et la structure osseuse ». Mais c’est l’idéologie transgenre qui prime : les traitements sont censés réduire l’anxiété et la dépression, en « alignant mieux le corps sur l’identité ressentie ».
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C’est tellement plus simple que d’aligner le ressenti sur le réel. Dans ma jeunesse les Shadocks disaient « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » C’était alors du deuxième degré !
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Pauvres enfants, innocents envoyés à l’abattoir par un horde d’adultes barbares !
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