L’université catholique Viterbo du Wisconsin demande que ses employés ajoutent à leur signature leurs pronoms de genre, et la vice-présidente Erin Edlund donne l’exemple en mettant « she/her/hers », indiquant qu’elle s’identifie comme femme.
La note indique qu’il s’agit « d’améliorer la cohérence, le professionnalisme et l’alignement avec notre nouvelle image de marque ».
On ne sait pas ce qu’est la nouvelle image de marque, mais celle qui est proclamée par l’université est son « identité catholique et franciscaine »…
Life Site News souligne :
« L’adoption des pronoms de genre est doublement scandaleuse pour une université catholique. Elle implique tout d’abord un déni de la réalité biologique au profit des “préférences” de chacun, rejetant ainsi le fondement même d’une véritable éducation : prendre au sérieux la vérité objective. »
Mais cette université parraine depuis 2011 un « Pride Club » qui a mis en place « des espaces sur le campus où les étudiants peuvent s’arrêter et s’informer sur les différentes identités ».
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Il y a, hélas, de par le monde, trop d’universités catholiques qui ne devraient plus y adjoindre le qualificatif de ‘catholique’ ayant trop bien assimilés le monde. Vous me rétorquerez que l’Église catholique ne défend plus trop, Elle-même, la doctrine catholique bi-millénaire ! D’où les dérives progressent….
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