Hier pour la première fois a été diffusée par la chaîne ZDF une « messe catholique queer », « organisée par la communauté queer de Münster » (Westphalie), « l’une des plus anciennes » d’Allemagne : c’est l’aboutissement d’un travail de 25 ans. Car « la communauté queer de Münster offre depuis 1999 un espace sûr aux personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queer ou intersexuées pour vivre leur foi ».
Le célébrant était Karsten Weidisch, qui est aumônier du lycée diocésain, et « coach ». Sic. Il « aide à mieux voir pour mieux connaître afin que le changement devienne possible ». Car il est spécialiste notamment en « gestion du changement », « diversité » et « gestion de soi ».
On n’ose imaginer ses « catéchèses ».
Le pire est qu’à cette « messe » rock LGBT, où le sermon était à trois : le prêtre et deux représentants de la « communauté queer », il y avait des enfants. Dont les enfants de chœur. Quatre filles et deux garçons, car telle est aujourd’hui la parité. A moins que l’une des filles s’identifie comme garçon.
La parabole du pharisien et du publicain tirée de l’Évangile selon Luc (chapitre 18, versets 9 à 14) délivre un message clair : « Sois toi-même, reste fidèle à toi-même ! Sois toi-même, en chemin ! », a déclaré le pasteur Karsten Weidisch dans son sermon. La devise du service religieux « Qui suis-je – pour toi ? » reprend une déclaration du défunt pape François. À la question sur l’attitude de l’Église envers les personnes homosexuelles, il avait répondu : « Qui suis-je pour le juger ? »
Dans le même temps, à Rome, le successeur du pape François déclarait dans son homélie :
« La règle suprême dans l’Église est l’amour : personne n’est appelé à commander, tous sont appelés à servir ; personne ne doit imposer ses idées, nous devons tous nous écouter mutuellement ; personne n’est exclu, nous sommes tous appelés à participer ; personne ne détient toute la vérité, nous devons tous la rechercher humblement, et la rechercher ensemble. »
Personne n’est exclu, à condition de trouver génial qu’il y ait des « messes » rock célébrant les perversions sexuelles. Sinon c’est le régime Traditionis custodes d’exclusion des églises paroissiales.
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‘personne ne détient toute la vérité, …’, l’évêque Prévost ne reprend plus vraiment l’enseignement du Christ qui affirmait : ‘ Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie’
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« La règle suprême dans l’Église est l’amour : personne n’est appelé à commander,«
Dommage pour eux qu’il y ait quelqu’un pour commander et c’est Dieu en 3 personnes, dont la 2e a dit » Qui m’aime, obéit à mes commandements », ce que Luther et Calvin se sont empressés d’occulter.
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Question : est-ce que pareille messe est valide ?
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De toute façon je n ‘y communierais pas.
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Conséquence e.a. du Novus Ordo ou d’ un… certain N.O. Mais où est la ligne de démarcation entre les deux, l’ officiel et le populaire, éventuellement le vulgaire ??
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Quelques réflexions: quand on voit le cinéma que fait le nerveux célébrant, on comprend mieux l’intérêt de la messe dos au fidèles.
Quand on prend des filles servantes de messe, les garçons fichent le camp. Les novateurs sont ainsi sûrs de tarir les vocations et d’inciter à l’ordination des femmes.
Des fidèles étaient à genoux lors de le consécration.
Des fidèles âgés pas très à l’aise avec les « chansonnettes »
Ce n’est pas pire que dans certains diocèses en France (excepté l’arc-en-ciel)
L’architecture de l’église colle bien avec les « célébrations »
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