Le gouvernement a décidé hier que la détection d’un seul cas de dermatose nodulaire bovine dans un troupeau entraînera « l’abatage total » des animaux et une campagne de vaccination obligatoire dans un rayon de 50 km. Sic.
On remarque que l’on parle ici d’abattage, et non pas d’euthanasie, mot stupide qu’on emploie quand on parle des animaux de compagnie. Ici on n’a pas à prendre de gants avec mémère, et l’antispécisme s’arrête à l’entrée des fermes quand on a très peur d’une nouvelle maladie, même si elle n’est pas transmissible à l’homme.
C’est donc un (nouveau) massacre qui est programmé. Avec bien sûr à la clef les ingrédients habituels : le fric (vacciner à 50 km à la ronde), et le mensonge : il est nécessaire d’abattre tout le troupeau, à savoir de réduire à néant des années de travail, de sélection, de soins…
Or c’est faux : la très officielle Plateforme nationale d’Épidémiosurveillance en Santé Animale (ESA), qui conseille le gouvernement, avait conclu en 2015, après l’épidémie en Grèce, que « les mesures à prendre sont l’isolement des animaux et l’interdiction des déplacements, l’abattage de tous les animaux malades et infectés, l’incinération des animaux morts, la désinfection des locaux et des outils et une lutte contre les vecteurs présents dans les locaux et sur les animaux ». L’abattage des animaux infectés, pas des animaux sains.
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Outre se remplir les poches au passage, les responsables visent des famines de populations, ou au minimum de fortes pénuries alimentaires à terme. Ils savent très bien ce qu’ils font.
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Une vache saine est une vache malade qui s’ignore, c’est leitmotiv de Bigpharma. Je propose d’abattre les abatteurs et les malades qui ont donné l’ordre d’abattage, c’est extrêmement dissuasif et préventif.
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Le gouvernement étend aux bovins la méthode républicaine: euthanasie laïque, gratuite et obligatoire, de la conception à la vieillesse. Entre les foetus avortés et les embryons surnuméraires issus de la FIV (fécondation in vitro), annuellement, un demi-million de français tombent au champ d’honneur.
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Et n’oubliez pas les victimes des pilules abortives (anti-nidation) et du stérilet que certains médecins « catholiques » prescrivent et implantent à de bonnes mères de famille « catholiques »
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